Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Publié le par yanike-kayak

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Samedi 9 octobre 2021

Les photos non signées Pascal J - Yanike Kayak sont de Jean-Jacques Pierre.

Cela faisait plusieurs mois que je voulais revenir naviguer dans l'archipel des Glénan.
Ces derniers mois, plusieurs îles, ou parties d'îles étaient interdites au débarquement.
J'avais prévu d'y venir avant, mais la météo était trop mauvaise pour tenter la traversée.
Ce week-end, beau temps annoncé, je prévois une randonnée sur deux jours.
Charles, Joël, Annie, Roland, Daniel et Jean-Jacques ont répondu à mon invitation.
Nous nous retrouvons à la cale de Beg-Meil ce samedi matin.
Nous préparons nos kayaks et embarquons vers 10h40.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

La photo de l'équipe (prise avec l'appareil photo de Joël) :

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous sommes sur un week-end de grande marée.
Coefficient 105 ce matin, la marée sera basse à 13h27, et haute à 19h24, coefficient 101.
Le courant va nous porter au début de notre navigation vers l'île des Moutons.
Nous atteignons rapidement la pointe de Beg-Meil en longeant la côte.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

A partir du sémaphore, nous faisons cap au 205, pour une navigation de 5,21 milles nautiques, en direction de l'île des Moutons.
La navigation est tranquille, sur une mer calme et sous le soleil.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Après deux heures de pagaie, nous approchons des premiers rochers aux Moutons.
Un phoque se repose au soleil.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

L'arrivée est toujours aussi magique, avec ce phare qui se détache sous ce ciel bleu ...
L'île a une surface de 5 hectares. Son nom lui vient, dit-on, de l'existence de troupeaux de moutons qui auraient été jadis détruits par les rats.
Les marins lui donnent le nom breton de Moelez.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous débarquons, et avons le plaisir de retrouver Maurice, Pascal B et Pierre, qui sont partis de Mousterlin, ainsi que François, parti de l'île Tudy.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

La mer a découvert les roches colonisées par les algues brunes, offrant à ce tableau des couleurs magnifiques.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Après le pique-nique, nous déambulons sur l'île, à la découverte de ses trésors.
Au bout de la cale, deux canons.
L'armée française avait installé sur l'île une batterie de mitrailleuses en 1939.
Les allemands ne s'en sont pas servis, mais courant 1942, ils ont ramenés depuis Bénodet deux autres canons, bien rouillés mais qui existent encore aujourd'hui.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous marchons vers le phare.
En 1879 fut construit une tour carrée de 18 mètres flanquée d'une maison abritant les gardiens.
Elle fut occupée dès 1905 par la famille Quéméré et ses 4 enfants.
Souffrant de livraisons irrégulières du ravitailleur "La Marie-Jeanne", ils finissent par acquérir 3 vaches, des moutons, des poules, des oies et des canards.
Un jardin protégé de murs est aménagé pour produire des légumes et des fruits.
Deux canots, le "Moelez", puis le "Goéland", servent à capturer poissons et crustacés.
D'autres familles prendront le relais.
Le phare sera automatisé en 1983.
Il a une portée de 15 milles (environ 27 km) et est télécontrôlé depuis Concarneau.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous profitons de la vue alentours.
La mer a découvert le plateau rocheux de Pen ar Guernen, à l'Est de l'île.
La lumière est magnifique.
Les rochers du secteur étaient surnommés "cimetière des thoniers"

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous marchons vers l'ouest de l'île.
A cette époque, il n'y a plus de sternes. L'île en est la principale réserve.
Nous apercevons au large les plateaux rocheux qui rendent le secteur dangereux pour la navigation.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous revenons vers la cale. La visibilité est excellente, le paysage est sublime.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

S'il n'y a plus de sternes, les lapins occupent toujours le terrain.
Un menhir pointe vers le ciel, il laisse penser que l'île était habitée déjà dans les temps préhistoriques.
Il semble cependant que son origine soit purement naturelle.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous reprenons la mer.
Deux phoques profitent du soleil.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous contournons la plateau rocheux de Pen ar Guernen

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

... et mettons le cap au 167, vers l'ancien phare du Huic, pour une traversée de 2,65 milles nautiques.
La navigation est agréable, avec une légère houle.
Je vais même apercevoir un dauphin qui saute, le corps entier en dehors de l'eau ... magique !
Malheureusement, il ne va pas renouveler la figure, et je n'aurai pas de photo.
 

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Après une traversée tranquille, nous arrivons devant l'ancien phare du Huic.
Ce feu a été construit en 1935 et mis en service le 1er juillet 1936 à la demande de la Marine Nationale

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous poursuivons vers le nord de l'île Saint-Nicolas.
Quelques bateaux sont au mouillage entre Saint-Nicolas et l'île de Bananec.
Le tombolo qui relie les deux îles n'est pas encore recouvert par la marée, cela donne l'illusion que Fort Cigogne est posé sur le sable.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous parcourons la Chambre, et nous débarquons sur la cale de Saint-Nicolas.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Une petite balade sur l'île nous permet d'admirer les alentours.
La Boucane et Les Viviers des Glénan étant fermés, nous nous abstiendrons de boire une bière en terrasse.
Une sculpture représentant une queue de baleine avait été installée sur l'un des rond-points de Fouesnant, puis a migré ici.
Malheureusement, une partie de la queue a été enlevée.
L'éolienne, immobile à notre arrivée, va se mettre à tourner rapidement car le vent va se lever.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Sous l'oeil observateur d'un goéland ...

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

... nous contemplons ce magnifique paysage ...

Fort Cigogne
Fort Cigogne

Fort Cigogne

Le tombolo entre Saint-Nicolas et Bananec
Le tombolo entre Saint-Nicolas et Bananec

Le tombolo entre Saint-Nicolas et Bananec

La côte nord de Saint-Nicolas et l'ancien phare du Huic

La côte nord de Saint-Nicolas et l'ancien phare du Huic

Après avoir fait le tour de l'île, nous revenons à la cale pour embarquer.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous naviguons vers Fort Cigogne ...

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

La lanterne perchée sur un rocher de l'île Cigogne aide à la navigation dans la Chambre.
Ce feu en a guidé des voiliers cherchant leur route dans ce dédale d'îlots et de rochers.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Le nom de Fort Cigogne serait la transcription phonétique du breton " seizh kogn ", les sept coins, qui est une allusion descriptive à la topographie de l'île.
Nous débarquons sur la cale devant le fort.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Au début du XVIIIe siècle, la France est en guerre contre l’Angleterre. Pour les corsaires anglais, cette île était un endroit idéal pour attendre les navires français qui venaient de Concarneau.
La construction du fort a démarré en 1755.
Les corsaires partent sur l’île de Penfret, hors de portée des canons, faisant du fort un outil inutile…
Il a été déclassé en 1891 et mis à disposition des scientifiques. 
Cédé au laboratoire de biologie marine de Concarneau, un observatoire météo y est installé jusqu’en 1940. Entre-temps, la Marine décide d’y ériger une tour de 20 m, en 1911, afin d’effectuer des essais de vitesse entre l'île de Groix et les Glénan.

Les marins pêcheurs ont continué à utiliser, comme logement saisonnier.
 Les Allemands s’y sont installés pendant la guerre.
À la libération, la famille Viannay s’est occupée de le remettre debout. Il avait été fragilisé par la guerre. 

Hélène et Philippe Viannay créent l’école de voile des Glénans et accueillent leurs premiers stagiaires en 1947. Depuis 1957, le fort est loué par le centre nautique des Glénans.
Devenu propriété de l’État en 2015, il a été affecté au Conservatoire du littoral.

Son projet de restauration vise aujourd’hui à donner au site un intérêt touristique.
Grâce aux jeux Mission patrimoine, lancés par la Française des Jeux, la ville de Fouesnant a déjà reçu un premier chèque de 152 000 €. Cette somme financera une partie des travaux estimés à 3,6 millions d’euros.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Des cunégondes sont stockées le long des remparts. Il s'agit des toilettes utilisées par le centre nautique.
Le mode d'emploi y est même affiché !

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

De Fort Cigogne, nous apercevons l'île du Loc'h, avec sa cheminée en brique, vestige d'une ancienne installation de fabrication de soude à partir du goémon.

"En 1784, l’industrie de la soude s’implante sur les îles. Utilisée dans la fabrication du verre, la soude est obtenue à partir du goémon coupé, séché puis brûlé dans des « fours », fosses creusées dans le sol et tapissées de pierres. Refroidie et découpée en « pains », la soude est acheminée vers les verreries du continent puis, dès 1829, vers des usines qui en extraient l’iode à usage pharmaceutique (teinture d’iode). 
Près d’un siècle plus tard, l’entreprenant baron Fortuné Halna du Fretay établit cinq familles de fermiers-goémoniers du Léon dans les îles de Saint-Nicolas, Penfret, le Loc’h, Drenec et Quignenec. Il fait aussi bâtir sur l’île du Loc’h un four à goémon de grande taille, qui fonctionnera peu et dont on aperçoit encore aujourd’hui la cheminée de briques. "source : Fouesnant, les Glénan"

Cette île appartient à Vincent Bolloré.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous repartons de Fort Cigogne et faisons le tour de l'île.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous rejoignons notre lieu de bivouac et apprécions le calme et la sérénité de ces moments en pleine nature, dans cet endroit paradisiaque.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Dimanche 10 octobre 2021

Après un superbe bivouac, nous reprenons le mer ce dimanche matin.
Les couleurs sont magnifiques.
Nous avons l'impression d'être seuls au monde !

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Après avoir fait le tour de l'île Drennec, nous contournons l'île du Loc'h par le sud.
Celle-ci est la plus grande de l'archipel des Glénan. Elle a été achetée à la ville de Fouesnant en 1924 par la famille Bolloré.
Au centre de l'île se trouve un lac d'environ 4 hectares, aux eaux saumâtre (mélange eau douce et eau salée).
 

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous passons par le sud de l'île Guéotec, avec son amer en forme de gros bonbon caramélisé sur son rocher.
Celui-ci a servi aux essais de vitesse en mer du "France" depuis la base de vitesse de Lorient.
Cette île était réputée pour la qualité de ses pâturages. Les fermiers de l'île de Penfret y transportaient leur troupeau.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous passons à la pointe sud de l'île de Penfret.
Nous apercevons l'ancien sémaphore. Il fut construit, ainsi que la maison des guetteurs, entre 1860 et 1866.
En 1963 le sémaphore est désarmé par la Marine nationale.
Propriété du Conservatoire du Littoral, il est loué à l'école de voile des Glénans.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Une croix est planté sur un rocher à la pointe sud de l'île.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous longeons la côte Est et remontons vers le Nord.
Nous apercevons le phare, qui a été rénové.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous croisons le Santa-Maria, un ancien sardinier qui propose de découvrir les sensations de la pêche en mer, ainsi que des promenades dans l'archipel.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Le vent forcit force 4, la mer se creuse.
Nous débarquons sur la plage au nord-ouest de l'île.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous marchons jusqu'au phare.
Il s'est allumé en 1838, et est automatisé en 1993.
L’association « Plein Phare sur Penfret » a été créée en avril 2012 pour entretenir et valoriser le site, en cohérence avec les Phares et Balises, son président est le navigateur Jean Le Cam.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Sous le phare se trouve un fort. Il fut édifié de 1841 à 1847.
En 1918, on note la présence d'un poste de défense contre les sous-marins.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, un petit détachement est présent sur l'île pour la surveillance du câble la reliant au continent.
Durant l'Occupation, les Allemands utilisent le corps de garde crénelé comme casernement.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Au sud du phare se trouve la maison des gardiens.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Notre balade nous permet d'avoir de beaux points de vue sur l'archipel.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Nous pique-niquons sur la plage où nous avons débarqué, puis nous reprenons la mer.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Bonne nouvelle, le vent a faibli.
Nous naviguons vers la pointe de Beg-Meil, plein nord.

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Après trois heures de traversée, nous sommes de retour à la cale de Beg-Meil.
Ainsi se termine ce superbe week-end sur l'archipel des Glénan.
Nous avons parcouru environ 28 milles nautiques sur les deux jours.
Les Glénan, c'est toujours aussi magique, et le fait d'y rester une nuit nous fait sentir encore plus la beauté de cet archipel.
La navigation en kayak permet aussi de découvrir à un rythme différent, en étant déconnecté, et en passant quasiment partout.
La météo nous a permis de visiter plusieurs îles et de se replonger dans l'histoire.
Pour plusieurs de mes compagnons, c'était une première.

Vive le kayak !

Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !
Les Glénan ... enfin, et toujours aussi beau !

Publié dans Rando Bretagne

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article